Pour démarrer notre périple à vélo, nous optons pour un départ depuis Olivet, banlieue orléanaise. Quelques jours avant le départ, nous avions appelé le camping municipal, pour nous assurer de la .possibilité d’y laisser notre voiture pour une douzaine de jours. L’avantage du parcours Loire à vélo est que la plupart des campings, qu’ils soient municipaux ou autre, ont un parking pour stationner les véhicules sur une longue durée. Bien entendu, tous se dégagent de toutes responsabilités en cas de dégâts durant le séjour, mais, jusqu’à présent, nous n’avons jamais eu à déplorer quoi que ce soit.
Nous partons de notre domicile vers les 10 heures 30 et arrivons deux heures plus tard à notre destination. L’accueil est courtois et l’emplacement qui nous est attribué est ombragé, calme, en contrefort d’un ru très à sec.
Nous nous attaquons à notre premier plantage de tentes et tout le monde s’y attèle de bon cœur.
Après avoir terminé l’installation, une petite collation est la bienvenue.
Puis, nous partons visiter les alentours du camping. Nous découvrons rapidement que le ru est en fait une rivière sur laquelle, au vu des barques échouées, il est possible de naviguer.
Une fois restaurés, nous nous attelons au premier remplissage de gourde (Adrien y prend plaisir), pour une première petite ballade à la découverte d’Olivet. Cette sortie a aussi pour but de repérer le début de notre premier parcours du lendemain.
Olivet est plus grand que nous l’imaginions et la municipalité s’est réellement investie pour créer des voies cyclables, parfois empruntant des trottoirs mais sans besoin de mettre pied à terre, tout au long de la ville. En revanche, les panneaux de signalisation manquent cruellement à l’appel, ce qui complique l’orientation pour qui n’est pas du coin. Il nous faudra donc nous fier au plan offert par la réception du camping et aux noms des rues d’Olivet.
Nous nous engageons dans un petit chemin qui nous mène jusqu’à un endroit reposant, où se trouve un vieux moulin à eau et un stand de rafraîchissement
Nous nous y arrêtons un moment, avant de retourner au camping et y attendre la journée du lendemain, déjà rêveurs au parcours qui nous attends...
